vendredi 9 juillet 2010

Une nuit qui change tout Chap 10

Chapitre 10: Quand les choses deviennent sérieuses

POV d'Edward

La journée que j'avais passée avec Bella avait été idéale. Je ne faisais que d'y repenser.

-"Edward tu m’écoutes?"

-"Oui bien sûr. "

-"Alors répètes-le ! " Me demanda ma sœur postée devant moi les mains sur les hanches.

J'avais beau me concentrer, sa voix était devenue très vite un bruit de fond.

-"J'avais raison."

-"Pardon sœurette, recommence cette fois-ci je suis toute ouïe. "

-"Je te disais qu'on a enfin trouvé l'appart de nos rêves. Un loft sur deux ..."

La sonnerie de Bella la coupa.

-"Bella?"

Je me retournai afin d'éviter les grands gestes de mon lutin fétiche qui mimait qu'elle me trancherait la tête.

-"Edward. Je ne te dérange pas j'espère?"

-"Non bien sûr que non tu me déranges pas. C'était ma pose."

J'entendis les jérémiades d'Alice " Non tu parles, il était juste en grande conversation avec sa cadette. Mais ce n’est pas grave...."

-"Super je voulais te proposer. Enfin si tu es d'accord. Mais rien ne t’y oblige. "

-"Oui?"

-« Voudrais-tu dormir chez moi ce soir? Je me disais que comme ça on aurait plus de temps ensemble. "

-"Pas de soucis au contraire. " Et encore le mot était faible. Et si je n'étais pas dans le parc du campus, avec Alice de surcroit, j'entamerai une dance de joie.

-"Parfait alors. " dit-elle avec un sourire timide dans la voix.

-"Parfait. "

-"Bon bas à ce soir. "

-" 19h pétante. " Précisai-je

Je raccrochai, restant immobile, repassant encore et encore ses quelques mots, m’incrustant de chaque souffle, de chaque intonation de sa voix.

-"Edward si tu n'étais pas mon frère, je ne sais pas ce que je te ferai. "

Elle avait fait le tour. Son visage était mi colère, mi stupeur.

-"Qui peut bien te faire cet effet ? À croire que tu es un satellite régit par sa voix. Je n’imagine même pas quand elle est dans la même pièce que toi, il pourrait avoir une tempête que tu ne bougerais pas sans qu'elle t’ordonne de courir comme Forest Gump. "

-"Pour l'instant c'est toi la tornade. Et crois moi, je peux courir sans signal de départ. "

-"Tu n'oserais pas. Edward reviens-là. Sale gougea ! Si je te rattrape tu es un homme mort. "

-"Essaye toujours" lui criai-je en courant vers ma salle de cour.

Je savais très bien qu'elle ne me rattraperait pas. Cela me déclencha un rire nerveux, ou peut être était-ce la prévision de la revoir qui en était la cause.

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Je m’arrêtai en bas de chez elle. J’avais préparé mon sac. J'avais pris soin aussi de faire une halte au fleuriste. Le bouquet était plus soft que la dernière fois. Mais la fleuriste l’avait préparé avec autant de soin. Sans omettre de me demander la réaction de la personne qui avait reçu le dernier. Et me glisser qu'elle avait pensé à moi en regardant Pédale Douce.
Ma première réaction fut un peu bizarre, je ne ressemblai pas, du moins j'espère à un gay - je n'ai rien contre eux mais je tiens à mon côté masculin - en remarquant ma tête, elle précisa son insinuation. L'acteur avait offert un bouquet d'ampoule à sa maitresse.
Je lui avais répondu que pour moi il n'y avait qu'elle. Et j'espérai pour toujours.


Je sonnai à son interphone remarquant le tremblement de ma main.
Elle répondit très vite. D'un simple " monte! ".
J'entendis le clac de la porte me donnant un signal intérieure. Celui qui me fit comprendre que j'allais la retrouver. Avec elle, je me sentais entier, je me sentais "chez moi".
Je frappai à sa porte. Des bruits de fracas venaient de l'intérieur.

-"Bella ca va?"

La porte s'ouvrit, elle avait un torchon dans les mains.

-"Désolée je me battais avec mes casseroles. "

-"Et qui a gagne ?"

-"Je dirai un partout. Mais entre. "

Elle se recula et je remarquai aussitôt l'odeur des lasagnes.
Elle couru au bar déposer son essuies et revint vers moi.
Elle sembla gêner. Je lui tendis le bouquet et lui souffla.

-"Bonjour. "

-"Bonjour. " Me répondit-elle avec un sourire.

Je lui attrapai la hanche et la colla à moi. Elle leva son visage vers le miens.

-"Tu m'as manqué, Bella!"

-"Toi aussi. "

Je déposai mes lèvres sur les siennes. Par envie mais bien plus par besoin.

Elle se sépara de moi me prenant la main. Elle me traina vers son placard pour y prendre un vase. Malgré ses gestes maladroits, elle parvint à sa tache. Elle m’entraina ensuite vers une porte. Elle me regarda une dernière fois avant de l'ouvrir. J'y découvris sa chambre. Elle n'était pas très… comment dire ? Très féminine. Ou du moins comme celle d'Alice.

-"Tu peux déposer tes affaires ici. "

Elle m’indiqua une chaise dans les tons verts anis. Sa chambre était dans les mêmes couleurs. Crème et vert. Mais à y regarder, elle était comme Bella : simple mais parfaite. Sans un besoin incommensurable d'artifice.

Je me débarrassai de mon sac.
-"Tu n'as que ça ?"

-"C'est l'avantage quand tu n'as pas besoin de porter de costume pour aller travailler. Un polo et un jeans ne prennent pas énormément de place. "

-"En parlant travail."

-"Oui ?"

-" J'ai démissionné du miens. "

-"Je suis navré. "

-"Moi pas. L'un de mes collègues. Que tu as aperçu avec ma voisine d'ailleurs n'arrêtait pas de me faire des avances. "

J'essayai de me le rappeler. Mais sans succès. Ce qui fut heureux pour lui. Je ne donnai pas chère de sa peau si je le croisai.

Nous étions sortis de la chambre après un moment. Rappelés au monde par le gling du four.

Les lasagnes étaient excellentes. Nous parlions de choses et d’autres rendant ce moment précieux et ordinaire. Un moment de vie que les couples ont ou devraient avoir. Car ils sont magiques. Ils ressourcent. Ils sont simples. Mais parfaits.

Le repas terminé, Bella me proposa d’aller nous coucher dans son lit. Elle avait un écran au mur. On se changea rapidement et se blotti l’un contre l’autre.
Je pouvais sentir la douceur de sa peau. À chaque passage de mes doigts dans son dos, la chaleur montait en moi.
J’avais envi d’elle. Accepterai t’elle que je la câline ? Que je lui donne du plaisir ?
Je glissai ma main en dessous de sa nuisette pour approfondir cette caresse.
Allant jusqu’à ses seins. Elle se tourna m’en facilitant l’accès.
Je retirai le drap qui nous couvrait et me mit devant elle. Entre ses jambes. Souleva son vêtement de nuit. Enfonçant mes mains dans sa peau. Je descendis vers son string. Mon sexe était dur. Mais j’en fis abstraction. Il n’y avait qu’elle. Que son désir à elle qui comptait pour ce soir.
J’embrassai son ventre. Passa ma langue où je faisais tomber le tissu.
Elle agrippa mes cheveux me donnant plus de force dans mes gestes. Je lui repliai une jambe. Elle était à moi.
Je ne savais pas si j’étais le premier à chérir avec ma bouche son paquet d’amour mais je crois que le savoir aurai fait de moi l’homme le plus heureux si c’était le cas. Ou le plus jaloux dans le cas contraire.
Je la caressai avec ma langue passant sur chaque pli, chaque bosse de son sexe. Le goutant et le marquant par moment de mes dents. J’entendais ses gémissements. Elle n’allait pas tarder.

- « Edward ! Oh mon dieu ! Ouiiiii ! »

- « Jouis pour moi Bella. »

- « Edward Ouiiiiiiiiiiiiii. »

Ses jambes tremblèrent. Et son sexe se resserra sur ma langue. Lapant son suc jusqu’à la dernière goute. La faisant tressaillir. Son sexe devenant sensible après la jouissance.

Je me repositionnai contre elle attendant qu’elle reprenne son souffle. Elle se lova contre mon torse. Je lui embrassai le sommet de la tête.

Elle descendit sa main vers mon sexe.

- « Tu n’as pas à me rendre la pareil Bella, j’ai pris autant de plaisir à t’en donner qu’à en recevoir. »

- « Mais ? »

- « Chut ! Mon ange. Je t’aime et c’est tout ce qui compte pour le moment. Toi et moi, comme ça. »

- « Je t’aime Edward. »

Je venais de lui dire mes sentiments mais pensai pas à l’entendre. La joie me submergeait. Je resserrai mes bras contre son corps. Oui ce moment était tout ce qui comptait.
On s’endormi dans cette position. Se réveillant presque dans la même.
Avant de partir elle m’embrassa et je lui demandai de passer le week-end avec moi, lui donnant aucune précision sur notre emploi du temps. Je savais qu’elle n’aimait pas les surprises mais je savais que ça lui plairais.
On faisait penser à un vrai couple c’est peut-être ce qu’on est après tout. Oui nous le devenions. Et ça me plaisait énormément.

POV Bella

Cet entretien me donnait bonne impression sur notre future collaboration. Suite à ma démission, j'avais décidé de partir dans une branche qui me tenait vraiment à cœur: la peinture. J'étais actuellement en entretien avec le tenant d'une galerie d'art. J'en avais déjà contacté plusieurs, qui avaient décliné mon offre d'exposer chez eux, mais cette galerie là, je la sentais bien. Les négociations se passaient bien et le lieu me plaisait énormément.

À la fin de notre entretien, le propriétaire de la galerie m'adressa un sourire encourageant.

"Eh bien, Isabella – "

"Bella!"

"Bella, je pense que nous ferons du bon travail ensemble."

"C'est vrai? Merci beaucoup monsieur Black!"

"Appelez-moi Jacob!" (N/Nad : Nooon, pas lui ! :P)

"Très bien Jacob, si on prenait un autre rendez-vous pour que je puisse vous montrer le reste de mes toiles? Mardi qui vient, ça vous va?"

"C'est parfait!" Dit-il en regardant dans son agenda. "Alors à mardi. Au fait, ça pose problème si on se tutoie?"

"Aucun problème!"

"Très bien, bonne soirée Bella!"

"À toi aussi Jacob, bon week-end!"

Je quittai la galerie pour me diriger chez moi afin de me préparer pour mon week-end avec Edward. On ressemblait de plus en plus à un vrai couple, et ça me plaisait…

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Je venais d'arriver devant l'immeuble d'Edward. Il voulait venir me chercher, mais je lui avais rappelé que j'avais moi aussi une voiture, et que donc je pouvais me déplacer.

Après maintes discussions téléphoniques, j'avais finalement eu gain de cause et avais pu venir par moi-même chez lui. Je me dirigeai jusque l'interphone et sonnai.

"Monte mon amour!"

Il m'a bien appelée mon amour, je ne rêve pas là? Je ne sais pas si j'avais rêvé ou non, mais l'idée me plaisait.

Je fus tirée de mes pensées par le clic de la porte qui s'ouvre. Je m'engouffrai dans l'immeuble et entrai dans l'ascenseur. Une fois sortie, je me précipitai vers la porte. Je n'eus pas le temps de frapper que la porte s'ouvrait déjà sur le dieu grec qui peuplait mes rêves toutes les nuits.

Il me tira à lui et ferma la porte d'un coup de pied tout en me serrant dans ses bras. Il me regarda quelques secondes avant de poser ses lèvres sur les miennes. Sa bouche s'entrouvrit et sa langue caressa le contour de mes lèvres, demandant l'accès, que je lui accordai sans hésitation.

"Bonjour"

"Salut toi."

Nos lèvres finirent par se séparer. Un dernier baiser rapide et je quittai les bras d'Edward, qui me tendit la main et me dirigea vers la chambre.

"Pose ton sac, on va bientôt y aller."

"Tu veux toujours pas me dire où on va?" Dis-je en faisant une moue

"Non, surprise, tu verras quand on y sera!" Dit-il en riant.

Je boudai mais pris tout de même la main qui me tendait afin de le suivre. Nous nous installâmes dans la voiture et Edward me tint la main tout le long du trajet. Nous finîmes par arriver et je découvris, émerveillée, le lieu où il m'avait emmenée: la fête foraine! J'adorais ça! Je me retournai vers lui avec un grand sourire.

"Je suppose que ce n'est pas la peine de te demander si le programme te plait?" dit-il en m'embrassant brièvement.

"J'adore!" Dis-je, tout sourire.

Edward sortit de la voiture et en fit le tour afin d'ouvrir ma portière, me prit la main et m'entraîna au guichet, où il paya deux places, malgré mes protestations.

La soirée fût merveilleuse. Nous profitâmes des manèges à sensation, de la maison hantée, où Edward me cacha les yeux quand j'avais trop peur et me rassura avec des mots doux à l'oreille. Nous partageâmes un hot dog, et Edward me gagna un gros ours en peluche au stand de tir. Je sentais que je dormirais avec celui-ci les jours où Edward ne serait pas là…

Nous rentrâmes vers deux heures du matin, épuisés mais heureux. Nous passâmes la porte. Une fois celle-ci refermée, nous nous fixâmes quelques instants avant de rapprocher tout doucement nos visages. Nos lèvres se rencontrèrent timidement, avant de se faire plus pressantes. Soudain, sans que je m'y attende, je sentis mes pieds quitter le sol et Edward me porta comme une mariée jusqu'à sa chambre. Il me déposa avec délicatesse sur le lit avant de s'allonger sur moi, se positionnant entre mes jambes.

Le baiser repris et nos mains se firent baladeuses. Nous dûmes briser le baiser, haletants, et la bouche d'Edward partit à la découverte de mon cou. Mes mains se baladèrent le long de l'ourlet du t-shirt d'Edward, que je finis par tirer vers le haut. Celui-ci comprit mon intention et se releva afin que je puisse le lui retirer. Dés que ce fut fait, Edward réserva le même sort à ma tunique, avant de passer ses mains derrière mon dos et de dégrafer mon soutien gorge.

Une fois ma poitrine libérée de son carcan, la bouche d'Edward se précipita dessus, la vénérant de ses lèvres, sa langue et ses dents. Je gémis de bien-être, c'était si bon.

"Edward"

Mon amant continua sa douce torture, tandis que je passai ma main droite dans sa tignasse cuivrée. Une fois qu'il en eut terminé avec ma poitrine, il descendit plus au sud, déposant de doux baisers sur mon ventre, laissant sa langue se prélasser sur mon nombril. J'anticipai le moment où il s'occuperait de mon centre nerveux, me rappelant le fabuleux orgasme qu'il m'avait donné mercredi. Cependant, Edward n'avait pas l'air de vouloir se presser, il prenait son temps autour de mon nombril alors que je me consumais sur place. Après ce qui me parût une éternité, Edward fit sauter le bouton de mon jean et tira sur celui-ci, retirant mon shorty en même temps.

Malgré cette avancée, Edward semblait décidé à me faire languir, car il commença à embrasser ma cheville et à remonter tout doucement puis à continuer son petit manège sur mon autre jambe.

"Edward, je t'en prie…"

Il rit contre ma cuisse et continua son exploration comme si de rien n'était, terminant en taquinant mon aine, sans jamais toucher l'endroit qui le réclamait ardemment.

"S'il te plait Edward, j'ai besoin de toi…"

Il se décida enfin à répondre à ma requête, passant sa langue le long de ma fente avant de se concentrer sur mon clitoris. Je poussai malgré moi un gémissement, ce qui le fit sourire contre ma féminité. Sans que je m'y attende, il pénétra un doigt en moi, puis deux. J'étais au bord de l'extase, je ne pensais pas pouvoir ressentir plus de désir lorsqu'il me pénétra de sa langue, laissant ses doigts s'occuper de mon centre en feu.

"Hum, Edward…"

Quelques secondes plus tard, un violent orgasme me frappa, encore plus puissant que celui qu'il m'avait procuré mercredi dernier, je ne pensais pas que ce soit possible. Je hurlai son prénom en me déversant sur sa langue.

Je mis plusieurs secondes à me remettre de mon orgasme, mais celui-ci ne me suffisait pas, il m'en fallait plus.

"Edward, fais moi l'amour…"

Je le vis se relever et se débarrasser de son jean et de son boxer, je profitai de cet instant pour tendre mon bras vers mon sac afin d'en sortir un préservatif. Je ne pensais pas que ce soit vraiment nécessaire, mais mieux vaut prévenir que guérir. Il faudrait que je pense à lui demander à faire un test un de ces quatre pour être sûr, mais ce n'était pas le moment.

Je lui tendis le préservatif, qu'il mit rapidement avant de se positionner entre mes jambes, que je serrai en étau autour de sa taille. Il me regarda dans les yeux tendrement, frottant le bout de son gland contre mon entrée, m'embrassa rapidement avant de me pénétrer, centimètre par centimètre. Une fois complètement en moi, il s'immobilisa, le temps que je m'habitue à lui. Quelques secondes plus tard, je bougeai les hanches pour l'intimer de continuer. Il commença de lents va-et-vient pour prendre ensuite un rythme plus soutenu. Je sentais mon orgasme se construire petit à petit, c'était si bon.

"Edward, plus vite!"

"Bella" Gémit-il en réponse.

Il intensifia le mouvement, et je commençai à perdre pied. La main d'Edward se faufila là où nous étions joints et donna le coup de grâce en pinçant mon clitoris. Je partis dans l'extase. Mes parois se refermèrent autour de lui et je partis dans un grand cri.

"EDWARD!"

"BELLA!" Cria-t-il en me rejoignant avant de s'effondrer sur moi.

Je mis encore plus de temps à me remettre, j'avais besoin de reprendre mon souffle. La respiration d'Edward était tout aussi erratique que la mienne. Edward reprit le sien au bout de quelques secondes avant de m'embrasser tout le visage, terminant par mes lèvres. Ce baiser n'avait rien de passionnel, il était plein de tendresse, et peut-être… d'amour? Je ne savais dire.

Edward se retira de moi et alla mettre le préservatif à la poubelle, puis revint s'allonger à coté de moi, me prenant dans ses bras. Il m'embrassa sur la tempe.

"Bonne nuit mon ange." Murmura-t-il contre ma tempe.

"Bonne nuit mon cœur" Répondis-je à mon tour, avant de partir dans les bras de Morphée.

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"EDWARD!" fut la première chose que j'entendis à mon réveil. Une voix féminine? Qui appelait Edward? Dans son appartement? Alors qu'il ne lui avait pas ouvert? Mais qu'est-ce-que c'est que ce cirque? J'entendis à nouveau la même voix.

"EDWARD! Qu'est ce que tu fous encore au lit?" Entendis-je avant que la porte ne s'ouvre en grand.

"Oh mon dieu!" S'exclama la jeune fille qui venait de nous réveiller, mettant sa main devant sa bouche.

C'est qui celle-là?

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